dimanche 25 mai 2008

Quelqu’une des voix, toujours angélique, il s’agit de moi vertement je m'explique. Coeur transparent dans un vide sans temps je veux pleurer mais les larmes refusent de couler alors pour faire semblant je fais couler mon sang. Hanté sans cesse par des souvenirs qui on finit par me détruire, je suis incapable d’exprimer toute cette douleur qui ronge mon cœur et pourtant je méprise ce silence qui dans un vide immense représente mon absence. Mon âme tourmentée arrose mon esprit de sombres pensées, nourrissant ainsi cette haine qui m’entraîne dans un abysse de peine. Lié par des promesses, telles sont mes faiblesses, mes envies, mes ardeurs périssent dans une affreuse noirceur qui s’enflamme un peu plus toutes les heures.
Le réveil devient un calvaire car mes yeux ne veulent plus s’ouvrir dans cette terre, je pense sans répit au dernier souffle de ma vie, je rêve pitoyablement au dernier de mes instants.Il est temps de fermer ce livre qui a tant pleurer, passer de l’autre coté et me convaincre de tout oublier. Simplicité enlacée dans cet univers de fiction, tombes de jade écumant le ciel si fade, ce flux de passion qui submerge toute lueur de ma raison s’évanoui dans le plus profond de mon âme en perdition.. Je me sens enfin libéré et très loin de ma prison…Ad nauseam.

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1 commentaires:

Anonymous Anonyme a dit...

Le style me plaît, mais le fautes faussent le ton... Attention!

3 janvier 2009 à 18:00  

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