mardi 12 août 2014

If I Know ....

Le sang bouillant, le cœur inexistant et le regard ardent j’entame ici mon éternelle souffrance ainsi que ma sempiternelle existence...
Je me réveil, le corps tremblant, ce cauchemar hante encore mon esprit et cette lumière agresse mes paupières. Je ne sens plus les battements de mon cœur il a du succomber à cette affreuse douleur…je ne ressens plus cette présence qui a engendré mon existence, suis-je mort ? Non ! je viens a peine de renaître et je suis enfin en possession de cet être qui scellait mon existence avec tous ses sentiments dénués de sens. Il a fini par succomber aux démons de son passé. Toute cette lutte fut inutile et tout ces temps passé à rêver n’ont fait que le tuer.
Il est temps maintenant de créer l’éternité…

mardi 15 avril 2014

Maggie Siff - Lullaby for a soldier (Sons of Anarchy) HD



May you stay in the arms of the angels...

samedi 15 février 2014

G.I.P FULOLLO

"Je viens te dire adieu mon ami....je pars serein"




mercredi 28 août 2013

L'ombre d'une étoile


Parfois on pleure, parfois on sourit mais jamais on oubli...
Ces instants si fragiles qui nous prennent en asile...

Souhaitant enivrer les enfers de ces quelques mots invisibles
Espérant envahir les montagnes célestes de mon âme si nuisible
Je m’étouffe une fois encore avec ces quelques sentiments pléthores
Parfois tu pleures, parfois seulement, mais inlassablement tu meurs 
Parfois tu souris, parfois seulement, mais pitoyablement tu survis...





mardi 9 août 2011

Gen_isis


Pleure petit enfant ton existence s’achève avec se dernier sentiment 
Laisse couler tes dernières larmes, purifie enfin ton âme
Franchi ton ultime palier et laisse toi emporter loin vers l'éternité
Envol toi et rejoint les étoiles, tu mérites enfin ton Graal.  


Souri adulte corrompu dorénavant t'auras le pouvoir absolu.. 
Le sang brûlant dans tes veines, tu dérives vers la haine
Tes gestes deviennent superflus, tes mots trop ambigus
Tu oubli toutes les peines ainsi que tes faiblesses humaines.
..

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mardi 8 février 2011

Mars Rain

Profitant d'un instant de faiblesse je me pli encore a une promesse.
Un jour tu seras encore devant mon regard, ce seul et unique contact fera de moi Son Avatar...
Ha le temps passe, le passé s'efface mais laisse des traces...
Humblement je m'écarte de la vérité, faute de subir les impacts si cruels de la réalité.

Métamorphose qui s'impose, au sens profond de la sagesse, je ne la retrouve que dans des rares moments d'ivresse qui s'imposent dans mon esprit tel des caresses.
Ces instants si futiles, ces dérives inutiles, comblent le trou béant creusé au fil des ans par la simplicité qui demeure encré dans cette plaie.

Oiseau du soleil aux plumes de vermeil
Chevauche les vents, survole le temps
Repose tes ailes dans quelque nuage
Avant de finir ton long voyage..

Vagues éternelles qui surplombent l'océan si cruel
Versez votre fluide rugissant sur le visage de cet enfant
Ses larmes seront ainsi masquées et ces yeux apaisés
Vous seules pouvez celer la douleur qui meurtri son cœur.

 





mardi 11 janvier 2011

Il pleut, goutte par goutte je révèle mes aveux dans ce lieu où le sang bouillonnant dans mes veines se déverse lentement pour apaiser ma haine...

Nuit sans étoiles, lune d'amertume si pâle, soldat sans guerre, les genoux sont à terre.
Renonce au nom qui te rend si fier et oubli... oubli ton secret... oubli la vie...
Simulacre lassitude dans cet univers de solitude, insipide aventure qui prolonge ma nature au-delà des limites de l’imposture. Sombre silhouette qui s'émane de mon être, résidus incessants d’un cœur transparent, pensées maladives qui tourmentent mon âme impassible et puis cette obscure raison s’éloigne diluant  toute ma passion sur les rives du temps.
Une larme coule sur un visage, une goutte tombe d’un nuage, c’est un ange qui pleure, je viens de lui arracher le cœur…



vendredi 9 avril 2010

Entracte

Quelque peu ailleurs mais en tout cas loin d'ici la vérité n'est jamais en sursis.
Tel un fardeau qu'on oubli et aussi douce qu'une goutte de pluie.
Les mots n'apportent que des conflits dans mon incorrigible esprit qui succombe au  mal qui me rempli.
Je marche lentement vers cette lumière qui me fuis, vers cette fin qui ne fini qu'au frémissement d'une étincelle de ma vie.
Mon cœur, mon âme font déjà parti d'une sombre et unique envie qui vient de s'abattre sur mon esprit...

vendredi 8 janvier 2010

Hope

J'y suis, pris au piège, en état de siège, je me suis laissé envahir par cette tristesse qui a fini par détruire ma forteresse.
Sur ma tourelle éphémère, guettant l'horizon, je cherche la moindre étincelle de raison, peine veine, tous ses sentiments ont fini par faire couler mon sang.
Je tends la main cherchant désespérément la froideur qui a si longtemps régné sur mon cœur, je ne peux sentir qu'une chaleur étouffante qui brule ma chair jusqu'à la moindre de mes viscères...

Le moment n'est pas encore venu, le lien n'est toujours pas rompu, je ferme les yeux et me laisse dériver dans mes sombres pensées, peut être que bientôt j'aurais tout oublié...
Ce moment d'éternité, qui semble tout envelopper, cet instant si présent qui rend le sang tellement ardent, ainsi je vais succomber dans cette folie qui ne se présente qu'un seul jour dans toute une vie.
Partie 1. Folie
Étendu sur un sol humide, étouffé par un air insipide, j'aperçois loin vers l'horizon une ombre furtive...Le ciel s'assombrit et soudain je fus submergé par cette pluie qui délicatement me blanchit...
La folie m'agresse, la mort me presse, mais je reste immobile sur les flots de ma vie si futile.
L'ombre s'approche, mon regard s'effiloche sur un nuage scabreux qui vient d'enflammer les cieux.
-Qui est tu ? -dis je-
-Une ombre  ! -entendis je-
-Une ombre ? 
-Une ombre évasive qui t'apporte cette missive.
-Ombre ? Missive ? Qui peut avoir encore le courage d'écrire a un être qui succombe a la rage ?  
-Tu le sais, c'est toi qui la demande, alors lis, souris et laisse derrière toi cette misérable vie !...

"Cher et évasif personnage, cela fait bien longtemps que mon chemin me mène a toi mais peut être que l'inverse serait un meilleur choix. Bien évidemment maintenant les mots ne comptent plus, les gestes se font rares. Ainsi le dernier souffle de vie, que tu préservais enfui, vient de m'atteindre et tu te dois de le laisser s'éteindre. Le combat fut long et éreintant mais comme tu le sais ton destin ne pouvait m'ignorer alors me voila prête a exhausser ton plus grand souhait. Ceci étant, par manque de temps, je ne peux pas me déplacer alors lève toi et viens vers moi "...

Le pas hésitant, errant sur cette route si rude, qu'ai je donc fait pour mériter autant de solitude ?!
L'horizon se ferme, mes yeux se ferment, la fatigue m'empoigne puis mon souffle disparait lentement au rythme de mes gestes haletants.
Encore une pensée qui vient me troubler, encore un souvenir qui veut me détruire, présence néfaste dans mon âme qui s'efface telle une larme envahie par les flammes elle s'évapore lentement de mon corps frémissant ....
Voici qu'une immense rivière, surgit d'un passé si présent, entrave mon chemin vers la lumière, depuis combien de temps suis je absent ?!
Mon corps est las, mon esprit est fade seul mon regard se maintient rivé sur ce miroir dont le seul reflet me parait tellement inachevé. Me voila divaguant encore et toujours sur les rives du temps...
La terre, l'air, l'eau, le feu crois tu que cela suffise a contenter mes yeux ?
Quelle est cette voix qui résonne en moi ?
Tant de merveilles encore, tant de secrets enfuis persistent et me résistent, c'est pour cela que j'existe.

Ce n'est plus ta vie. Rappel toi du jour où tu m'as fuis.
C'était en hiver, le ciel bleu c'était assombri, le vent léger se mua en tempête et puis.... et puis t'as voulu me prendre la vie. Cette chose insensé qui me fut accordé quand je suis né commença a m'échapper et dans un triste méfait j'ai voulu la préserver.  
Puis je déjà m'envoler, puis je déjà m'effondrer avant de connaitre la vérité ?

Comme le petit ruisseau, dans sont lit soyeux, coulant vers le grand bleu qui recel encore trop de mystères, j'ai voulu entrer dans une guerre.... 
Oisive jeunesse à toute asservie,
Par délicatesse j'ai perdu ma vie
Est ce ces derniers mots qui seront mon tombeau ? 
La folie fut bref, mon esprit a repris ses caresses sur mon corps pétrifié par la présence de ce moment passager.


Nuance passagère dans cette légèreté éphémère
Un cri résonna et sur mon visage une larme coula
La paisible prairie est devenue mangeuse de vies
Et sur le bord de la rivière les fers se croisèrent...
 

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lundi 16 février 2009

Plombe mes ailes car j’ai trop volé
Mort a l’hirondelle sur l’autel du passé
Vide mon corps de cette âme torturée
Ouvre les portes par les sanglots condamnées
Essuie mes larmes qui ne cessent de couler
Et libère moi de l’emprise de l’être aimé

Guide tous mes pas loin de cette maison
Prends moi la main et montre moi le chemin
Dévoile moi le monde au delà de l’horizon
Car ici bas je n’ai plus aucun destin
Ouvre mes yeux sur la plaine des dieux
Et emprisonne moi dans le royaume des cieux

Fuyant le bonheur, ignorant les pénombres de la peur
C’est maintenant que je comprends...
Mon cœur ne fut jamais transparent.
Ne serait ce qu'un seul instant ?

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dimanche 25 mai 2008

Quelqu’une des voix, toujours angélique, il s’agit de moi vertement je m'explique. Coeur transparent dans un vide sans temps je veux pleurer mais les larmes refusent de couler alors pour faire semblant je fais couler mon sang. Hanté sans cesse par des souvenirs qui on finit par me détruire, je suis incapable d’exprimer toute cette douleur qui ronge mon cœur et pourtant je méprise ce silence qui dans un vide immense représente mon absence. Mon âme tourmentée arrose mon esprit de sombres pensées, nourrissant ainsi cette haine qui m’entraîne dans un abysse de peine. Lié par des promesses, telles sont mes faiblesses, mes envies, mes ardeurs périssent dans une affreuse noirceur qui s’enflamme un peu plus toutes les heures.
Le réveil devient un calvaire car mes yeux ne veulent plus s’ouvrir dans cette terre, je pense sans répit au dernier souffle de ma vie, je rêve pitoyablement au dernier de mes instants.Il est temps de fermer ce livre qui a tant pleurer, passer de l’autre coté et me convaincre de tout oublier. Simplicité enlacée dans cet univers de fiction, tombes de jade écumant le ciel si fade, ce flux de passion qui submerge toute lueur de ma raison s’évanoui dans le plus profond de mon âme en perdition.. Je me sens enfin libéré et très loin de ma prison…Ad nauseam.

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mardi 6 mai 2008

Encore une fois je fus victime de cette joie, encore une fois j’ai eu la foi. Palpitement d’une fleur qui est venu inlassablement déchirer mon cœur. Frissons enivrants qui réveillent tous ces vastes sentiments sanglants. Onde futile, ode puérile qui prennent un grand plaisir à me rendre inutile. Larmes invisibles qui coulent sur mon visage impassible. Cris de douleur qui résonnent dans le vestibule de ma peur. Est-ce la dernière fois que je vais croire en toi ?...
Plus d'expression, plus d’émotion… lumière, éternité mêlant aux flots des vagues du passé je me laisse emporter loin, très loin pour tout oublier. Les fleurs remplissent encore l’antichambre de la mort, corps inerte, souffle absent, recouvrant de frémissements les derniers instants de ton image qui subjugue encore mon esprit avant de s’évanouir définitivement dans le silence de l'oubli.

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mardi 26 février 2008

Le temps passe, les souvenirs s’effacent, les jours se lassent en attendant que la mort m’embrasse. Le vent souffle, les oiseaux chantent, le ciel noircit, la douleur m’envahi et les larmes coulent sur mes yeux sans vie. Cette douceur qui s’échappe de mon cœur me fait sourire, ce sont mes souvenirs qui s’apprêtent à s’enfuir, mon âme ne supporte plus toute cette souffrance elle cri à la délivrance.
Une simple tendresse, une myriade de caresses, les airs venus d’ailleurs m’emportent dans le sanctuaire où résonnent toutes mes prières. Les nuages scabreux remplissent mes cieux, la pureté de mon âme brûle au fond des flammes, attisées par les pleures qui s’émanent de mon cœur. Le chemin s’obscurcit, me voici dans l’antre de la nuit éternelle où reposera mon autel, déchirant la terre se dresse mon tombeau, le cercueil d’ivoire transperce mon regard.
Simple épitaphe mon corps l’enlace.
Et ruit Oceano nox.

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