mardi 26 février 2008

Le temps passe, les souvenirs s’effacent, les jours se lassent en attendant que la mort m’embrasse. Le vent souffle, les oiseaux chantent, le ciel noircit, la douleur m’envahi et les larmes coulent sur mes yeux sans vie. Cette douceur qui s’échappe de mon cœur me fait sourire, ce sont mes souvenirs qui s’apprêtent à s’enfuir, mon âme ne supporte plus toute cette souffrance elle cri à la délivrance.
Une simple tendresse, une myriade de caresses, les airs venus d’ailleurs m’emportent dans le sanctuaire où résonnent toutes mes prières. Les nuages scabreux remplissent mes cieux, la pureté de mon âme brûle au fond des flammes, attisées par les pleures qui s’émanent de mon cœur. Le chemin s’obscurcit, me voici dans l’antre de la nuit éternelle où reposera mon autel, déchirant la terre se dresse mon tombeau, le cercueil d’ivoire transperce mon regard.
Simple épitaphe mon corps l’enlace.
Et ruit Oceano nox.

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1 commentaires:

Blogger Alucard a dit...

Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

1 avril 2008 à 17:13  

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