Je me réveil, le corps tremblant, ce cauchemar hante encore mon esprit et cette lumière agresse mes paupières. Je ne sens plus les battements de mon cœur il a du succomber à cette affreuse douleur…je ne ressens plus cette présence qui a engendré mon existence, suis-je mort ? Non je viens a peine de renaître et je suis enfin en possession de cet être qui scellait mon existence avec tous ses sentiments dénués de sens. Il a fini par succomber aux démons de son passé. Toute cette lutte fut inutile et tout ce temps passé à rêver n’a fait que le tuer.
Vous rampez, tels de vers affamés, a la recherche d’un lendemain
Vos pauvres âmes esseulées perdues dans un tourbillon de pitié
Regardent vers ce lointain horizon et vous continuez d’espérer
Assoiffés par le pouvoir vous ignorez tous vous devoirs
Et dans votre immense ignorance vous sacrifiez toute votre existence...In Nomine Satanis ne dederis somnum oculis tuis nec dormitent palpebrae tuae.
Libellés : Odes
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