Encore une fois je fus victime de cette joie, encore une fois j’ai eu la foi. Palpitement d’une fleur qui est venu inlassablement déchirer mon cœur. Frissons enivrants qui réveillent tous ces vastes sentiments sanglants. Onde futile, ode puérile qui prennent un grand plaisir à me rendre inutile. Larmes invisibles qui coulent sur mon visage impassible. Cris de douleur qui résonnent dans le vestibule de ma peur. Est-ce la dernière fois que je vais croire en toi ?...
Plus d'expression, plus d’émotion… lumière, éternité mêlant aux flots des vagues du passé je me laisse emporter loin, très loin pour tout oublier. Les fleurs remplissent encore l’antichambre de la mort, corps inerte, souffle absent, recouvrant de frémissements les derniers instants de ton image qui subjugue encore mon esprit avant de s’évanouir définitivement dans le silence de l'oubli.
Plus d'expression, plus d’émotion… lumière, éternité mêlant aux flots des vagues du passé je me laisse emporter loin, très loin pour tout oublier. Les fleurs remplissent encore l’antichambre de la mort, corps inerte, souffle absent, recouvrant de frémissements les derniers instants de ton image qui subjugue encore mon esprit avant de s’évanouir définitivement dans le silence de l'oubli.
Libellés : Odes
2 commentaires:
Un si modeste compliment...Mais purement magnifique. Je n'ai d'autres mots.
Si magique
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil